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La certification en amont et la saisine d’une instance indépendante en aval offrent aux médias les moyens de consolider leur crédibilité dans un espace informationnel instable, juge Yann Guégan, vice-président du Conseil de déontologie journalistique et de médiation, dans une tribune au « Monde ».
21 commentaires
L’autorégulation en journalisme est une excellente initiative, mais comment éviter les conflits d’intérêts dans les instances indépendantes ?
Les médias ont souvent manqué de rigueur dans le passé, cette mesure est donc la bienvenue.
La transparence des procédures de nomination devrait être un premier pas essentiel.
Les médias ont besoin de se renforcer pour faire face aux défis actuels, cette proposition va dans le bon sens.
L’autorégulation pourrait aussi inspirer d’autres secteurs face aux problèmes de désinformation.
La crédibilité des médias est effectivement en jeu, mais les sanctions en cas de manquement restent floues.
Les mécanismes disciplinaires doivent être clairement définis pour que ce système ait un impact réel.
Certains pensent que l’autorégulation est trop douce, tandis que d’autres y voient une avancée nécessaire.
L’équilibre entre liberté et responsabilisation est toujours délicat à trouver.
Intéressant, mais comment ce système sera-t-il financé pour éviter les biais économiques ?
Une question cruciale, la transparence financière sera également nécessaire.
On peut se demander si cette mesure suffira à apaiser les critiques croissantes envers la presse.
Seul le temps nous le dira, mais c’est un pas dans la bonne direction.
La déontologie doit être une priorité, cette certification semble être une réponse adaptée.
Reste à savoir si les médias minoritaires auront les moyens de s’y conformer.
Enfin une initiative concrète pour renforcer la confiance du public envers les médias traditionnels.
Avec l’essor des fake news, cette démarche semble plus que jamais une nécessité.
Le Conseil de déontologie journalistique joue donc un rôle clef dans ce processus.
Son indépendance sera déterminante pour la crédibilité globale de cette démarche.
Une approche intéressante, mais sera-t-elle appliquée de manière uniforme par tous les médias ?
La clé réside dans l’adoption volontaire par les rédactions, sans quoi les résultats pourraient être inégaux.