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A la sortie du métro, dans les ascenseurs et les files d’attente, partout les New-Yorkais me mettent en garde : « Il va faire froid. Très froid. » Si j’en crois mon amie Ashley, je devrais abdiquer toute coquetterie jusqu’au début du mois de mars. « Privilégie les chaussures Gore-Tex, les moufles et les doudounes », me conseille-t-elle avec la tranquillité de quelqu’un qui sait comment éviter les engelures.

A force d’entendre ces prédictions glaciales, je finis par craindre davantage l’hiver que la montée des eaux, et, comme beaucoup de New-Yorkais, je saute dans un avion pour passer un week-end au soleil, à Miami (Floride). Après un peu plus de trois heures de vol, c’est un choc : il fait 28 °C sur Ocean Drive. Des silhouettes athlétiques slaloment en rollers, certaines disputent des parties de volley-ball, d’autres déambulent en bikini.

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11 commentaires

  1. La comparaison des modes de vie entre New York et Miami est fascinante. Je me demande quels sont les avantages et inconvénients de chaque choix.

  2. Un article qui sonne comme une invitation à la fuite. Espérons qu’il apporte des perspectives sur les raisons profondes de ces exodes temporaires.

  3. Un déplacement vers Miami semble être la solution idéale pour échapper au froid new-yorkais. J’espère que l’article aborde les impacts économiques de cette migration saisonnière.

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