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Depuis son intronisation, à l’été 2024, Laurent Bonadei prône le renouvellement de générations au sein de l’équipe de France féminine de football. Un des objectifs qui lui a été fixé par les dirigeants de la Fédération française de football. Et un précepte que le sélectionneur tricolore a exacerbé en écartant, juste avant l’Euro 2025, des cadres très expérimentées comme Wendie Renard, Eugénie Le Sommer et Kenza Dali. La nouvelle désillusion des Bleues en Suisse, incapables, une fois encore, de franchir le cap des quarts de finale d’un tournoi majeur, n’a pas fait varier le Varois. Lequel a tout de même reconnu, en conférence de presse, mener « une introspection personnelle » pour chercher « comment s’améliorer et comment faire les meilleurs choix possibles ».

A l’heure d’affronter l’Allemagne en demi-finale aller de la Ligue des nations, vendredi 24 octobre à Dusseldorf (17 h 45, retour mardi 28 à Caen), Laurent Bonadei n’a pas cédé à la tentation de rappeler Renard ou Le Sommer. A ses yeux, le patron des Bleues n’a pas d’autre choix que d’aller au bout de son idée : un rajeunissement massif de l’équipe de France.

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9 commentaires

  1. Camille Moreau le

    Même en demi-finale, l’écart d’expérience pourrait jouer contre les Bleues. L’Allemagne reste une équipe redoutable.

  2. Camille Moreau le

    Laurent Bonadei a-t-il vraiment les moyens de ses ambitions avec ce virage générationnel ? Les résultats récents en disent long.

  3. Ce rajeunissement de l’équipe de France féminine est une stratégie risquée, mais nécessaire. Espérons que les nouvelles joueuses sauront s’imposer.

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