Listen to the article
0:00
Dans une tribune au « Monde », les députés écologistes Benoît Biteau et Lisa Belluco, l’eurodéputée Marie Toussaint et la figure des luttes paysannes José Bové s’élèvent contre l’accord en faveur de l’introduction de nouvelles techniques génomiques, qu’ils décrivent comme une dangereuse « privatisation du vivant ».









12 commentaires
Intéressant de voir comment les technologies génétiques évoluent, mais il faut rester vigilant sur leur impact environnemental.
Totalement d’accord, la transparence est essentielle.
La privatisation du vivant est un débat sérieux. Espérons que l’UE trouvera un équilibre pour protéger les petits producteurs tout en innovant.
Cet équilibre semble fragile, surtout face aux lobbies industriels.
Les critiques de Bové et ses alliés soulignent la nécessité d’une régulation stricte. La résilience agricole ne peut pas se construire au détriment des petits producteurs.
C’est un point clé, l’équité doit primer dans toute innovation agricole.
Ces nouvelles techniques génomiques pourraient-elles vraiment menacer la biodiversité et les petits agriculteurs comme le suggèrent ces militants ?
Les nouvelles techniques génomiques pourraient-elles vraiment menacer la biodiversité locale ? Quel est le risque réel ?
Les nouvelles techniques génomiques pourraient-elles réellement rendre les cultures plus durables, ou est-ce un argument marketing ?
Les OGM ‘nouvelle génération’ ne sont-ils pas une solution pour des cultures plus résistantes face au changement climatique ?
L’UE doit être transparente sur les bénéfices et les risques de ces technologies pour les agriculteurs et l’environnement.
Absolument, la transparence est cruciale pour gagner la confiance du public.