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Dans une tribune au « Monde », les députés écologistes Benoît Biteau et Lisa Belluco, l’eurodéputée Marie Toussaint et la figure des luttes paysannes José Bové s’élèvent contre l’accord en faveur de l’introduction de nouvelles techniques génomiques, qu’ils décrivent comme une dangereuse « privatisation du vivant ».

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12 commentaires

  1. Sophie X. Moreau le

    Intéressant de voir comment les technologies génétiques évoluent, mais il faut rester vigilant sur leur impact environnemental.

  2. La privatisation du vivant est un débat sérieux. Espérons que l’UE trouvera un équilibre pour protéger les petits producteurs tout en innovant.

  3. Les critiques de Bové et ses alliés soulignent la nécessité d’une régulation stricte. La résilience agricole ne peut pas se construire au détriment des petits producteurs.

  4. Ces nouvelles techniques génomiques pourraient-elles vraiment menacer la biodiversité et les petits agriculteurs comme le suggèrent ces militants ?

  5. Les nouvelles techniques génomiques pourraient-elles réellement rendre les cultures plus durables, ou est-ce un argument marketing ?

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