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Imposer un minimum de 30 % de filles dans ces filières d’excellence contribuera à l’élargissement du vivier de candidats, estime l’économiste et mathématicien Elyès Jouini, dans une tribune au « Monde ». La sélection y gagnera en qualité et en équité.
9 commentaires
Ce système pourrait en effet permettre de mieux identifier les talents souvent invisibilisés dans ces filières.
Oui, mais il faut aussi s’assurer que cela ne crée pas de discriminations inverses.
L’élargissement du vivier de candidats est une excellente initiative, surtout pour équilibrer les carrières scientifiques.
Tout à fait, et cela pourrait inspirer d’autres domaines à faire de même.
Intéressant, mais l’assouplissement des critères de sélection ne risquerait-il pas de minimiser la notion de mérite ?
Cela dépend de la manière dont ces quotas sont appliqués et contrôlés.
Une idée intéressante, mais comment s’assurer que les critères de sélection restent suffisamment rigoureux ?
Les quotas pourraient effectivement garantir une diversité des profils tout en maintenant des standards élevés.
À condition que les évaluations ne deviennent pas simplement formelles pour atteindre ces quotas.