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Le compteur des cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC) était bloqué depuis lundi 15 décembre. Il s’est à nouveau incrémenté lundi 22 décembre. Le site du ministère de l’agriculture indique désormais que 114 cas ont été répertoriés sur le territoire depuis l’apparition de la maladie sur le territoire national le 29 juin en Savoie. Le nouveau foyer a été détecté dans les Pyrénées-Orientales. C’est le 22e cas détecté dans ce département, ce qui signifie que le virus continue à circuler en Occitanie.

Le gouvernement a, justement décidé d’accélérer la vaccination dans cette région avec 750 000 doses qui devraient être administrées dans une zone élargie tout au long de l’arc pyrénéen. Le premier ministre s’est engagé, dans un courrier envoyé aux syndicats agricoles, vendredi 19 décembre, après les avoir rencontrés successivement, que cette opération « sera conduite sous un mois ».

Depuis ces rendez-vous, les mobilisations sur le terrain se sont réduites même si la Confédération paysanne et la Coordination rurale n’ont pas donné l’ordre de mettre fin aux actions sur le terrain.

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9 commentaires

  1. La vaccination accélérée dans la région est une bonne initiative, mais pourquoi attendre si longtemps pour agir ? Les éleveurs ont besoin de solutions rapides.

  2. C’est un sujet grave qui affecte directement les éleveurs. Les mobilisations devraient continuer jusqu’à ce qu’une solution durable soit trouvée.

  3. Pierre L. Thomas le

    Encore un cas de dermatose nodulaire dans les Pyrénées-Orientales, c’est inquiétant. J’espère que les mesures mises en place seront suffisantes pour endiguer la propagation.

  4. La situation est préoccupante, surtout si le virus circule toujours activement en Occitanie. Espérons que les 750 000 doses de vaccins feront la différence.

  5. Antoine G. Moreau le

    Le nombre de cas augmente, et les mesures semblent insuffisantes. Comment le gouvernement compte-t-il vraiment résoudre ce problème ?

  6. C’est triste de voir cette maladie continuer à se répandre malgré les efforts. Les éleveurs méritent mieux de la part des institutions.

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