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Des dizaines d’actions se sont déroulées samedi en France contre le protocole d’abattage des bovins touchés par la maladie virale, qui poursuit son expansion et dont aucun traitement n’existe.
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Cette maladie touche particulièrement les éleveurs, mais les consommateurs devraient aussi s’inquiéter des conséquences sur la sécurité alimentaire.
Les gouvernements devraient investir dans la recherche d’un traitement.
C’est vrai, mais l’abattage des bêtes est-il vraiment la seule solution ?
La dermatose nodulaire semble se répandre rapidement. Quel est l’impact réel sur le cheptel bovin français ?
Les chiffres manquent, mais les éleveurs parlent d’une menace sérieuse.
Cette crise sanitaire montre une fois de plus l’importance de la prévention et de la surveillance vétérinaire.
Mais une fois que la maladie est là, que faire ?
Les éleveurs ont raison de se mobiliser, car les abattages massifs pourraient mettre en péril leurs exploitations.
Même sans traitement, il faut trouver des alternatives pour préserver leur activité.
La situation est critique, surtout sans traitement disponible. espérons que des solutions émergeront rapidement pour éviter des pertes économiques majeures.
La législation devrait être plus stricte pour éviter la propagation de cette maladie.