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Alors que les agriculteurs protestent contre la gestion de l’épidémie, la sociologue Jocelyne Porcher explique, dans une tribune au « Monde », que loin du simple rouage qu’elle représente pour l’industrie de la viande, la vache est l’animal qui porte l’identité, le travail, la famille d’un éleveur.








16 commentaires
Pourquoi les grandes entreprises de viande ne prennent-elles pas leurs responsabilités dans cette crise ?
Elles privilégient leurs profits aux dépens des petits éleveurs, semble-t-il.
Une fois de plus, c’est aux agriculteurs de payer le prix de gestion industrielle inefficace. Quand est-ce que ça s’arrêtera ?
Les conflits d’intérêts dans ce secteur sont bien connus, mais rien ne change.
La dermatose nodulaire contagieuse est un exemple frappant de l’urgence de repenser notre modèle agricole.
Quel impact cette maladie aura-t-elle sur les élevages français ? Les agriculteurs ont-ils reçu l’aide nécessaire pour faire face à cette crise ?
Les aides gouvernementales semblent insuffisantes, d’après les témoignages des éleveurs.
Les vaches représentent bien plus qu’un simple produit pour l’élevage. C’est un paradoxe que l’industrie ne semble pas comprendre.
Si même la vache, symbole de l’élevage, est maltraitée par le système, où va-t-on ?
La situation est critique, mais où sont les solutions concrètes pour les éleveurs ?
Les associations agricoles demandent une meilleure reconnaissance de leur savoir-faire.
Les éleveurs subissent des pressions constantes, entre les réglementations et les épidémies, sans soutien réel.
C’est un métier de plus en plus difficile, effectivement.
Les éleveurs méritent plus de respect et d’aide face à des défis aussi lourds que celui-ci.
Tout à fait d’accord, leur travail est souvent sous-estimé.
La tribune de Jocelyne Porcher souligne un problème profond de la société actuelle : le manque d’empathie pour ceux qui nourrissent le pays.