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Trois ans après le projet avorté de fusion avec TF1, le patron du groupe audiovisuel privé considère, dans un entretien au « Monde », que la consolidation reste « inéluctable », même si la réglementation actuelle l’en empêche avant 2032.
12 commentaires
Trois ans après l’échec de la fusion TF1-M6, les leçons ont-elles été tirées pour une future consolidation?
Si la consolidation est inévitable, elle devra être mieux anticipée pour éviter les obstacles réglementaires.
Un nouveau pacte audiovisuel est nécessaire, mais quelles mesures concrètes seraient envisageables pour moderniser le secteur?
Une révision des réglementations anti-trust et des aides à l’innovation pourraient être des pistes.
Une consolidation du secteur audiovisuel français semble inévitable, mais sera-t-elle bénéfique pour les consommateurs et la diversité des programmes?
Cela dépendra des conditions imposées par l Autorité de la concurrence et du gouvernement.
La consolidation pourrait renforcer la compétitivité face aux géants étrangers, mais à quel prix pour la concurrence?
À condition de maintenir une certaine diversité, cela pourrait être une bonne chose.
Intéressant de voir que la consolidation est perçue comme inévitable. Quels seraient les critères pour une fusion réussie, selon vous?
La synergie stratégique, la complémentarité des audiences et une régulation équilibrée.
Le marché audiovisuel évolue, mais les régulations actuelles semblent freiner les fusions nécessaires. Comment concilier innovation et protection culturelle?
C’est un équilibre délicat, mais le secteur doit s’adapter sans pour autant sacrifier l’identité culturelle.