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L’AVIS DU « MONDE » – À VOIR
Vous reprendrez bien un peu de Josh O’Connor ? En attendant une année 2026 chargée où on le retrouvera en voleur de tableaux chez Kelly Reichardt (The Mastermind), en étudiant en musique chez Oliver Hermanus (Le Son des souvenirs) et dans les rôles principaux des nouveaux longs-métrages de Steven Spielberg et de Joel Coen, excusez du peu, le nouveau chouchou de Hollywood peut déjà se prévaloir en ce mois de décembre d’une double actualité. Il brille en jeune prêtre charismatique dans le film d’enquête Wake Up Dead Man. Une histoire à couteaux tirés, de Rian Johnson, disponible en ligne sur Netflix, et touche une corde plus sensible avec Rebuilding.
Le charme du deuxième long-métrage du réalisateur américain Max Walker-Silverman est indissociable de celui de son acteur principal. D’une évidente cinégénie, il porte avec lui son spleen existentiel, ses yeux plissés et sa moue mélancolique, cet air comme pour s’excuser d’être là, qui le rendent si attachant.
Josh O’Connor incarne ici Dusty, un cow-boy du Colorado qui a tout perdu dans un violent incendie. Son ranch et ses hectares de terre réduits en cendres, il doit se séparer de son cheptel et se prépare à rejoindre la vaste propriété d’une de ses cousines, beaucoup plus au nord, dans le Montana. Sauf qu’à la suite d’une visite impromptue chez son ex, Ruby (Meghann Fahy), celle-ci est bien déterminée à le pousser à assumer son rôle de père auprès de leur fille avant qu’il ne file. Dusty et Callie-Rose (Lily LaTorre) renouent contact alors que lui prend possession, auprès d’autres sinistrés, d’un mobile home modeste mis à disposition de manière temporaire par l’Agence fédérale de gestion des situations d’urgence.
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19 commentaires
Le sujet est dur, mais la lumière sur l’acteur principal donne de l’espoir.
Au moins, avec O’Connor, on sait qu’on a une solide performance.
Un réalisateur peu connu, mais un film qui a l’air d’avoir du potentiel.
Américain, mais ça reste à découvrir.
Noui ai pas encore vu Wake Up Dead Man, mais Rebuilding a l’air plus profond.
Normal, Rian Johnson excelle dans les intrigues lui.
Un incendie qui détruit tout, quelle tragédie. J’espère que le film ne minimise pas l’impact émotionnel.
Si le réalisateur reste fidèle au ton qu’il a su créer, ça devrait être poignant.
Le cow-boy, une figure Toujours aussi fascinante à l’écran.
D’accord, mais est-ce que cette histoire apporte du neuf au genre?
J’ai hâte de voir comment O’Connor traduit la mélancolie d’un homme qui a tout perdu.
Son talent pour les émotions brutales est déjà prouvé, donc j’ai confiance.
Un trio de films en 2026, Spielberg, Joel Coen, et Reichardt… quelle année pour lui !
Oui, mais je me demande s’il va tenir sans s’épuiser.
Hollywood nous gâte avec tous ces rôles pour O’Connor cette année.
Oui, et je suis très curieux de le voir dans le next Spielberg.
Un film sur la résilience et la reconstruction, un thème qui parle à beaucoup dans un monde en mutation rapide.
Vrai, mais j’espère qu’il ne tombe pas dans le cliché du cow-boy solitaire.
Josh O’Connor a toujours un talent pour incarner des personnages complexes.