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Tous les parents d’un bébé né à partir du 1er janvier 2026 pourront bénéficier du nouveau congé de naissance prévu par le budget de la Sécurité sociale, même s’ils devront attendre l’entrée en vigueur technique du dispositif, dans « le courant de l’année », a annoncé le ministère de la santé à l’Agence France-Presse (AFP), jeudi 18 décembre.
Ce congé supplémentaire d’un à deux mois par parent s’ajoute aux congés maternité (seize semaines) et paternité (vingt-huit jours) existants, avec un niveau d’indemnisation plus élevé que le congé parental actuel, également maintenu.
Le calendrier de son application, initialement fixée à juillet 2027, a fait débat au Parlement, où elle a été avancée par l’Assemblée nationale à janvier 2026, puis décalée à janvier 2027 par le Sénat – où ont notamment été mises en avant des contraintes techniques –, avant d’être finalement fixée à janvier 2026 dans le texte définitivement adopté mardi au Palais-Bourbon.
« Réarmement démographique »
Ce congé « est très attendu par les Français (…). Évidemment, nous allons respecter la loi, même si j’avais pu dire qu’il y avait des sujets techniques pour y arriver. Donc on va le faire, on va y arriver, mais de façon dégradée », avait déclaré, jeudi après-midi sur Franceinfo, la ministre de la santé, Stéphanie Rist.
L’entrée en vigueur dès le 1er janvier 2026 « n’est techniquement pas envisageable, ni sécurisée pour les employeurs, comme cela avait été souligné par le gouvernement dans le cadre des débats parlementaires. Les équipes sont pleinement mobilisées pour permettre une entrée en vigueur dans le courant de l’année 2026 », a précisé en soirée, à l’AFP, le ministère. « Le gouvernement s’engage à ce que les parents ayant eu un enfant à partir du 1er janvier 2026 puissent bénéficier de ce congé à partir de son entrée en vigueur qui interviendra dans le courant de l’année », et les modalités d’application « seront précisées aux futurs parents et aux employeurs dans les prochains jours », a-t-on ajouté de même source.
Ce nouveau congé, annoncé par Emmanuel Macron en janvier 2024, en vue d’un « réarmement démographique » face à la baisse de la natalité, aura une durée d’un ou deux mois, au choix du salarié, et pourra être fractionné en deux périodes d’un mois.
Le montant d’indemnisation doit être fixé par décret mais lors des débats parlementaires, l’exécutif a annoncé qu’il s’élèverait à 70 % du salaire net le premier mois et 60 % le second.










13 commentaires
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