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Que pensent Jeff Bezos, Elon Musk ou encore Mark Zuckerberg ? Explorez l’idéologie fluctuante des grands patrons de la tech dans ce hors-série de « L’Heure du Monde » enregistré en public avec Raphaëlle Bacqué, Damien Leloup et Alexandre Piquard. Dans ce quatrième épisode : le virilisme qui vire au masculinisme des « tech bros ».
15 commentaires
Un sujet fascinant mais difficile. Comment ces idéologies se traduisent-elles concrètement dans la gestion des entreprises ?
Parfois de manière subtile, comme dans les politiques de recrutement ou les cultures d’entreprise.
Quels sont les moyens concrets pour contrer ces discours dominants et promouvoir plus d’équité ?
La sensibilisation et l’éducation sont des étapes cruciales, mais les actions doivent suivre.
Le virilisme en tech n’est pas nouveau, mais il mérite d’être critiqué ouvertement.
Totalement d’accord. La tech doit évoluer pour refléter mieux la société dans son ensemble.
Les enjeux de genre dans la tech sont souvent sous-estimés. Cet épisode semble mettre en lumière des réalités peu discutées.
Absolument, et c’est essentiel pour avancé vers une industrie plus inclusive.
Intéressant d’analyser comment l’idéologie des patrons de la tech influence leurs entreprises et la société.
Surtout quand on parle de secteurs comme l’énergie, où leurs visions peuvent avoir un impact global.
Cela soulève des questions sur l’éthique et la responsabilité de ces figures dans l’industrie.
Le masculinisme chez les « tech bros » est un phénomène troublant. Comment cela affecte-t-il les femmes dans ces secteurs ?
C’est une barrière invisible mais puissante qui limite la diversité et l’innovation.
Faut-il voir ces idéologies comme des outils de manipulation ou des convictions sincères ?
Probablement un mélange des deux, avec des motivations complexes derrière chaque discours.