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Gardiens de la paix, enquêteurs, officiers de gendarmerie… ils ont quitté des institutions auxquelles tous disent avoir cru. Leurs parcours racontent souvent les mêmes histoires, entre lourdeurs administratives, dysfonctionnements et culture du silence.










11 commentaires
La culture du silence semble être un problème récurrent dans ces institutions. Comment briser cette omerta qui pousse les agents à partir?
Cela nécessiterait une véritable réforme culturelle, mais est-ce que la hiérarchie est prête à l’assumer?
Cette vague de démissions dans les forces de l’ordre est alarmante. J’espère que les décideurs vont enfin entendre ces cris d’alarme.
Quels changements pourraient être mis en place pour éviter des situations comme celles-ci?
Les lourds bureaucraties ralentissent tout, c’est connu. Mais sachant cela, cela ne change rien.
Ces démissions soulèvent des questions sur la qualité de la formation et du soutien psychologique dans ces corps de métier.
Les témoignages des anciens policiers et gendarmes sont poignants. Quelle est la réponse des autorités face à ces départs massifs?
Des auditions parlementaires ont été demandées, mais on ne sait pas si elles auront lieu.
Les lourdeurs administratives semblent être un point commun dans ces témoignages. Comment simplifier les procédures sans nuire à l’efficacité?
Ces départs montrent à quel point le moral est au plus bas. Il est temps que les politiques agissent avant qu’il ne soit trop tard.
Sur ce sujet, les discours politiques abondent, mais les actes se font attendre.