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« Je vous informe (…) que le gouvernement démissionne aujourd’hui. » Le premier ministre bulgare, Rossen Jeliazkov, annoncé, jeudi 11 décembre, la démission de son gouvernement, au lendemain d’une nouvelle manifestation de masse pour dénoncer la corruption dans l’appareil de l’Etat et le budget pour 2026 du pays, le premier libellé en euros.

La veille, des dizaines de milliers de personnes avaient manifesté devant le Parlement, à Sofia, contre le gouvernement, jalon d’une série de rassemblements sans précédent dans le pays.

Cette démission survient alors que ce pays des Balkans, le plus pauvre de l’Union européenne, s’apprête à introduire la monnaie unique le 1ᵉʳ janvier 2026.

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11 commentaires

  1. Intéressant de voir comment la Bulgarie, malgré sa situation économique difficile, parvient à maintenir une certaine stabilité institutionnelle malgré tout.

  2. Claire G. Petit le

    Avec l’arrivée de l’euro en 2026, la Bulgarie va devoir gérer cette transition économique dans un contexte politique instable. Un vrai défi pour le pays.

  3. Les manifestations massives montrent que les Bulgares en ont assez des pratiques corrompues. Le gouvernement vient de perdre sa légitimité.

  4. La démission du gouvernement bulgare est un signe clair que la pression populaire contre la corruption commence à payer. J’espère que ce changement ouvrira la voie à des réformes plus transparentes.

  5. La Bulgarie, pays le plus pauvre de l’UE, a vraiment besoin de réformes profondes. La démission du gouvernement est-elle le début d’un changement positif ?

  6. Les manifestants ont réussi à faire bouger les choses. Espérons que la nouvelle équipe gouvernementale sera plus transparente et moins corrompue.

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