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Le Parlement a adopté, mardi 23 décembre, la loi de finances spéciale censée éviter un blocage financier de l’Etat à compter du 1ᵉʳ janvier. Les discussions sur le budget reprendront début 2026 avec, toujours, leur lot d’incertitudes.







13 commentaires
Cette situation budgétaire chaotique ne peut que nuire à l’attractivité du pays pour les investisseurs étrangers dans les secteurs clés.
Les parlementaires ont finalement trouvé un compromis, mais cela ne rassure pas sur la stabilité future des finances publiques.
J’espère que cette adoption temporaire permettra malgré tout de baisser les taux d’intérêt sur les obligations d’État, actuellement élevés.
C’est un effet possible, mais la confiance des investisseurs reste fragile.
Le report des discussions au début 2026 laisse planer bien des doutes sur ce qui nous attend. Les marchés financiers vont-ils réagir ?
Un leurre ou une vraie avancée ? Difficile de savoir avec ces mesures prises sous pression.
On peut craindre que cette loi d’urgence n’entraîne à terme des hausses d’impôts pour compenser les déficits non résolus.
Cette adoption d’urgence montre à quel point notre système politique est sous tension. Dommage que cela ne résolve pas vraiment les problèmes structurels.
Totalement d’accord, c’est une solution temporaire qui ne fait que repousser les véritables défis.
Je me demande comment les grandes entreprises et les secteurs comme le minier vont réagir à cette instabilité budgétaire persistante.
Une adoption à la va-vite comme celle-ci montre bien que le gouvernement est en difficulté face à un Parlement divisé.
Une fois de plus, on voit que les discussions budgétaires tournent au drame politique. Où est la sérénité nécessaire pour gérer nos finances ?
C’est triste, mais cela reflète bien la polarisation actuelle de nos institutions.