Budget : ces mesures fortes sur lesquelles les députés s’étaient accordés

`;
}
}
return html;
});

const previous_x = {};
for (let type_vote of listeVotes) {
groupes
.append(« rect »)
.attr(« class », « votes_rect  » + type_vote)
.attr(« data-vote », type_vote)
.attr(« data-groupe », ([key, val]) => key)
.attr(« data-nombre », function ([key, val]) {
return val[type_vote].length;
})
/* EDIT : suppression du fill, remplacé par du CSS */
.attr(« stroke », function ([key, val]) {
return « #000 »;
})
.attr(« stroke-width », 0)
.attr(« x », function ([key, val]) {
return previous_x[key];
})
.attr(« width », function ([key, val]) {
const depts = val[type_vote].length;
if (previous_x.hasOwnProperty(key)) previous_x[key] += xScale(depts);
else previous_x[key] = xScale(depts);
return xScale(depts);
})
.attr(« height », yScale.bandwidth())
/* EDIT : suppression du contenu du tooltip, rappatrié sur le group plutôt que le rect */
.on(« mouseover », function (e, d) {
const selection = d3.select(this);
selection.style(« stroke-width », 1);
if (display_hemicycle) {
const classe = `circle.seat.${selection.attr(« data-vote »)}[data-groupe= »${selection.attr(« data-groupe »)} »]`;
d3.selectAll(classe).style(« stroke-width », 1).style(« stroke-dasharray », « none »);
}
})
.on(« mouseout », function (d) {
const selection = d3.select(this);
selection.style(« stroke-width », 0);

if (display_hemicycle) {
d3.selectAll(« circle.seat »).style(« stroke-width », null).style(« stroke-dasharray », null);
}
});
}

/* l’axe des ordonnées */
axesAssNat
.append(« g »)
.attr(« class », « axes x passelect »)
.call(
d3
.axisTop(xScale)
.ticks(nbrTicksAssNat)
.tickSizeOuter(0)
.tickFormat((d) => (d > 0 ? d : «  »))
);

/* l’axe des abscisses */
axesAssNat
.append(« g »)
.attr(« class », « axes y passelect »)
.call(d3.axisLeft(yScale).tickFormat((d) => (dicoGroupes[d] ? (isMobile ? dicoGroupes[d].nom_court : dicoGroupes[d].nom_moyen) : d)));

grilleAssNat.append(« g »).attr(« class », « grid »).call(make_x_gridlines().tickSizeOuter(nbrTicksAssNat).tickSize(heightHistogram).tickFormat(«  »));

/* la légende */
/* EDIT : Modification de la génération de la légende (avec plus de CSS pour les couleurs et une différenciation entre la légende groupes et hémicycle) */
let html_legende = «  »;
for (let type_vote of listeVotes) {
const nb_votes = type_vote == « nonVotants » ? ceVote.nonVotantsVolontaires + ceVote.nonVotants : ceVote[type_vote];
if (voteClassique || type_vote === « pours » || type_vote === « nonVotants ») {
html_legende += `

${label_votes_short[type_vote]}
(${nb_votes ? nb_votes : « 0 »})

`;
} else {
console.log(type_vote);
}
}
contenant.select(`.d_legende_hemicycle`).html(html_legende);
contenant.select(`.d_legende_groupes`).html(html_legende);
}

Près de 3 000 amendements adoptés, au cours de quelque 125 heures de débat… pour accoucher d’un texte qui n’aura recueilli qu’une seule voix. Au Palais-Bourbon, l’examen en séance publique du projet de loi de finances pour 2026 – « le plus long débat budgétaire que la V^e République ait connu, et de loin », a commenté la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin –, s’est avéré inédit à de multiples égards.

Certes, le texte finalisé dans la nuit du 21 au 22 novembre relève davantage du patchwork de mesures dissonantes que d’une feuille de route cohérente, aucun député ou presque n’a souhaité l’assumer dans son ensemble, et aucune des mesures adoptées ne sera pour l’heure appliquée.

Il vous reste 98.48% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.