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Onze mois de discussions et au bout, l’échec. Le groupe bancaire français Banque populaire Caisse d’épargne (BPCE) et l’assureur italien Generali ont annoncé, jeudi 11 décembre, avoir mis fin « d’un commun accord » aux discussions engagées en janvier en vue de rapprocher leurs filiales respectives de gestion d’actifs, Natixis Investment Managers (Natixis IM) et Generali Investments Holding (GIH).

Une rupture à l’amiable, les deux groupes ayant dressé finalement le même constat, à savoir que « les conditions pour parvenir à finaliser un accord [n’étaient] actuellement pas réunies », même si la pertinence stratégique du projet, qui devait créer le numéro deux européen de la gestion d’actifs, avec quelque 1 900 milliards d’euros d’actifs gérés, derrière un autre français, Amundi, n’était pas remise en cause.

Car le contexte financier et politique en Italie était devenu trop complexe, voire hostile, pour que les deux partenaires puissent espérer aboutir à un accord définitif, malgré le délai supplémentaire de trois mois qu’ils s’étaient accordé, qui les menait jusqu’à fin décembre.

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