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Auteur de « Savoir ou périr », un bref texte en faveur d’un système scolaire et universitaire moins compétitif publié au Seuil, le chercheur à l’ENS de Lyon et au CNRS plaide, dans un entretien au « Monde », pour le respect d’un temps long, nécessaire aux découvertes.
7 commentaires
Intéressant de voir un sociologue critiquer le système éducatif actuel. Les évaluations standards doivent-elles vraiment primer sur l’apprentissage profond ?
Complètement d’accord, la pression des notes nuit parfois à la vraie compréhension.
Un entretien qui interroge sur la place des évaluations dans la réussite scolaire. Les méthodes d’apprentissage changent-elle vraiment avec ces réflexions ?
Les discours changent, mais les pratiques académiques mettent souvent du temps à évoluer.
La critique sur la compétition dans l’enseignement est réitérée. Pourtant, les classements semblent toujours aussi importants pour les employeurs.
Vrai, les diplômes gardent une valeur symbolique forte malgré tout.
La société valorise encore plus les résultats que les compétences pratiques.