Listen to the article
0:00
Jamais dans l’histoire, le tourisme international n’a été aussi vorace, constate dans une tribune au « Monde », le spécialiste du secteur, qui rappelle combien le droit à la mobilité récréative, incompatible avec l’urgence écologique, reste réservé à une minorité à l’échelle de la planète.










9 commentaires
Le tourisme international a explosé, mais à quel prix pour les communautés locales ? La surpopulation et la gentrification sont de vrais problèmes.
Les gouvernements devraient encadrer davantage cette activité pour protéger les résidents.
C’est triste de voir des habitants expulsés de leur propre ville à cause des locations touristiques.
La mobilité récréative est effectivement un luxe réservé à une minorité. Cela pose des questions d’équité et de durabilité.
Il faudrait peut-être repenser nos modes de vacances, privilégier le local et le durable.
Tout à fait, surtout quand on voit l’empreinte carbone des vols long-courriers et des croisières.
Le tourisme de masse a un impact environnemental considérable, surtout dans les zones sensibles. Comment trouver un équilibre entre développement économique et préservation des écosystèmes ?
Le tourisme de niche semble être une solution, mais il risque d’exclure encore plus les populations locales.
C’est un défi majeur, surtout pour les destinations populaires. Peut-être que des quotas ou des taxes environnementales pourraient aider.