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Loin des lieux traditionnels d’exposition parisiens, dans une rue très peu fréquentée, sous un pont en béton, un endroit mérite le détour, pour qui s’intéresse aux technologies liées aux énergies alternatives pour le transport, le chauffage, l’alimentation… Dans un conteneur de chantier et un local prêté par la mairie du 13e arrondissement, l’association Atelier 21 a créé le Rétrofutur Muséum, un lieu où l’on (re)découvre de drôles d’objets lors d’une visite obligatoirement guidée. Et où la parole se libérera certainement. Le slogan des lieux, « Inventions du passé, outils pour demain », résume l’envie d’imaginer pour soi ou pour la société un avenir plus soucieux du climat et de l’environnement.
Dans la première partie du musée, qui sert également de bureau à l’association, d’anciens voltmètres, piles, batteries ou panneaux solaires sont exposés sur des présentoirs. Les guides, dont Cédric Carles, un ancien designer à l’origine du projet, ne manquent pas d’histoires à raconter et n’hésitent pas à faire participer le visiteur.
Des pièces rares
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9 commentaires
J’espère que ce musée continuera à se développer, car le sujet est essentiel pour notre avenir énergétique.
C’est fascinant de voir comment les technologies anciennes peuvent inspirer les solutions énergétiques de demain.
J’adorerais visiter ce musée, mais la visite sur rendez-vous seulement, ça limite un peu l’accès…
JOverflow d’interrogations après avoir découvert ce musée. Comment des objets du passé peuvent-ils influencer notre futur énergétique?
Un lieu passionnant, surtout pour ceux qui s’intéressent à l’histoire des énergies alternatives. Les guides doivent être très savants.
Super initiative, mais finalement, est-ce que ces anciennes technologies peuvent vraiment être adaptées à notre époque?
Cela montre que l’innovation ne vient pas toujours de la modernité. Redécouvrir ces vieux objets peut être très instructif.
J’aimerais savoir si des écoles ou entreprises locales collaborent avec ce musée pour des projets éducatifs ou technologiques.
Tout à fait d’accord avec l’idée que le passé peut éclairer notre futur, mais il faut aussi investir dans la recherche actuelle.