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La contestation d’une partie de la jeunesse marocaine est le reflet d’une colère sociale qui s’exprime dans le royaume depuis des années, explique dans un entretien au « Monde » la socioéconomiste Samira Mizbar.

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8 commentaires

  1. Chloé Martin le

    Les classes moyennes ne sont pas épargnées non plus. La précarité s’étend même à celles qui devaient être plus stabilisées financièrement.

  2. Pierre Martin le

    Pourquoi les gouvernements continuent de publier des données qui ne reflètent pas la réalité ? Les citoyens méritent une transparence honnête.

  3. La jeunesse marocaine a du mal à croire dans un avenir meilleur quand l’écart entre les classes s’agrandit chaque jour. Une situation précaire pour beaucoup.

  4. Sophie Richard le

    Une analyse intéressante sur les disparités économiques au Maroc. Les chiffres officiels masquent souvent les réalités sociales locales, surtout dans les régions plus isolées.

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