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La contestation d’une partie de la jeunesse marocaine est le reflet d’une colère sociale qui s’exprime dans le royaume depuis des années, explique dans un entretien au « Monde » la socioéconomiste Samira Mizbar.
8 commentaires
Les classes moyennes ne sont pas épargnées non plus. La précarité s’étend même à celles qui devaient être plus stabilisées financièrement.
C’est un point crucial, souvent négligé dans les discussions sur la pauvreté.
Pourquoi les gouvernements continuent de publier des données qui ne reflètent pas la réalité ? Les citoyens méritent une transparence honnête.
La question se pose effectivement, surtout quand les politiques publiques sont basées sur ces chiffres.
La jeunesse marocaine a du mal à croire dans un avenir meilleur quand l’écart entre les classes s’agrandit chaque jour. Une situation précaire pour beaucoup.
C’est vrai, les promesses de développement n’atteignent pas toujours ceux qui en ont le plus besoin.
Une analyse intéressante sur les disparités économiques au Maroc. Les chiffres officiels masquent souvent les réalités sociales locales, surtout dans les régions plus isolées.
Exactement, et cela concerne également les secteurs informels, souvent négligés dans les statistiques.