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A Buenos Aires, La Libertad Avanza (LLA, « la liberté avance »), le parti présidentiel, exulte après avoir remporté de nombreux sièges aux élections législatives de mi-mandat, dimanche 26 octobre. « Aujourd’hui, commence le chemin de la construction de la grande Argentine », a promis son leader, Javier Milei.
Avec près de 41 % des voix, la formation d’extrême droite a obtenu une avance sur l’opposition péroniste (de la gauche au centre gauche) bien plus importante que celle dessinée par les derniers sondages. Et, si cette victoire surprise ne lui confère pas de majorité, le dirigeant ultralibéral jouit désormais d’une plus grande marge de manœuvre au Parlement.
9 commentaires
Cette victoire de Milei pourrait-elle influencer les politiques minières en Argentine ?
C’est une question intéressante. Son ultralibéralisme pourrait favoriser les investissements étrangers, y compris dans les mines.
Milei a promis de grandes réformes. Reste à voir si elles seront actionnables avec cette marge parlementaire réduite.
La politique est souvent une question de compromis. Sa base libérale sera-t-elle suffisamment flexible ?
Les marchés des matières premières pourraient être favorisés par cette dynamique politique.
Tout dépendra de la stabilité économique à long terme. L’Argentine reste un pays risqué.
Une victoire d’extrême droite qui relègue les péronistes à l’arrière-plan. Un vrai changement d’ère ?
Le péronisme a dominé pendant des décennies. Changeons de cap aura-t-il des conséquences positives ?
Milei semble convaincu de son chemin. Espérons que ses promesses ne soient pas qu’un effet d’annonce.