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Dans une tribune au « Monde », des experts plaident pour une approche plus différenciée de la lutte contre les résistances bactériennes, libérée des stigmatisations.









20 commentaires
Comment éviter que cette approche ne devienne juste un satisfecit sans actions concrètes derrière ?
La mise en œuvre sera déterminante, les paroles doivent être suivies d’effets.
Une approche différenciée semble nécessaire, mais comment concilier cela avec les intérêts économiques des grands groupes pharmaceutiques ?
C’est effectivement un défi majeur, la recherche de solutions doit être collective.
Les experts ont raison : stigmatiser un acteur ne résout pas le problème, il faut une réponse polyvalente.
Oui, mais cela suppose une volonté politique forte, pas toujours évidente.
Intéressant, mais quels pays et entreprises montrent déjà le chemin ?
Peu, c’est bien là le problème. L’effort doit être généralisé.
Cette tribune montre que la lutte contre l’antibiorésistance nécessite une stratégie globale, pas seulement des réponses locales.
Tout à fait d’accord, les solutions doivent être adaptées mais coordonnées.
Les résistances bactériennes sont un problème complexe, cette tribune rappelle l’importance de la coopération internationale.
Exactement, la science n’a pas de frontières, les solutions non plus.
La lutte contre l’antibiorésistance est un enjeu de santé publique, ce type de prise de position est essencial.
Absolument, et elle doit concerner autant les patients que les professionnels de santé.
Intéressant de voir un appel à la collaboration plutôt qu’à la culpabilisation. Peut-être une voie plus constructive.
Oui, mais reste à voir comment mettre cela en pratique à l’échelle mondiale.
Une réponse partagée est nécessaire, mais qui prendra l’initiative de fédérer les efforts ?
L’OMS semble le plus légitime, mais les données montrent qu’elle manque de moyens.
Je reste sceptique sur la capacité des pays à collaborer efficacement sur ce sujet, surtout avec les budgets serrés en recherche.
Les financements sont un enjeu clé, mais l’urgence justifie peut-être un effort accru.