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L’artiste, qui fête les 40 ans de sa compagnie en reprenant, entre autres, sa pièce « Le Parc » à Paris, revient, dans un entretien au « Monde », sur son parcours, qu’il voit comme une suite de ruptures.

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10 commentaires

  1. Marie S. Martin le

    40 ans de carrière, et toujours cette capacité à bousculer les codes. Le « Parc » reste une référence, mais on se demande ce qu’il nous réserve encore.

  2. Prendre le « contre-pied » de soi, c’est un luxe que peu d’artistes s’autorisent. On peut envier son audace ou s’en inspirer.

  3. Son entretien résonne comme un plaidoyer pour la prise de risque artistique. Serait-ce applicable à d’autres domaines de la création ?

  4. Pierre Thomas le

    Preljocaj a su naviguer entre succès critique et reconnaissance populaire. Son discours sur les ruptures semble refléter sa démarche artistique.

  5. Marie Richard le

    Quarante années de création, et toujours cette énergie disruptive. On voit bien en quoi cela influence toute une génération de danseurs.

  6. Intéressant de voir comment un artiste peut constamment se réinventer. Les ruptures dans son parcours doivent être inspirantes pour les jeunes chorégraphes.

  7. Un artiste qui assume pleinement ses contradictions, voilà une leçon rare. Préparons-nous à un nouveau choc esthétique.

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