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L’artiste, qui fête les 40 ans de sa compagnie en reprenant, entre autres, sa pièce « Le Parc » à Paris, revient, dans un entretien au « Monde », sur son parcours, qu’il voit comme une suite de ruptures.
10 commentaires
40 ans de carrière, et toujours cette capacité à bousculer les codes. Le « Parc » reste une référence, mais on se demande ce qu’il nous réserve encore.
Oui, difficile de rivaliser avec son propre génie. Rendez-vous à Paris pour en juger !
Prendre le « contre-pied » de soi, c’est un luxe que peu d’artistes s’autorisent. On peut envier son audace ou s’en inspirer.
Son entretien résonne comme un plaidoyer pour la prise de risque artistique. Serait-ce applicable à d’autres domaines de la création ?
Preljocaj a su naviguer entre succès critique et reconnaissance populaire. Son discours sur les ruptures semble refléter sa démarche artistique.
Exact. Son évolution est un bel exemple de cohérence dans la diversité.
Quarante années de création, et toujours cette énergie disruptive. On voit bien en quoi cela influence toute une génération de danseurs.
Intéressant de voir comment un artiste peut constamment se réinventer. Les ruptures dans son parcours doivent être inspirantes pour les jeunes chorégraphes.
Effectivement, c’est une leçon de courage artistique. Espérons que sa création marquera cette nouvelle étape.
Un artiste qui assume pleinement ses contradictions, voilà une leçon rare. Préparons-nous à un nouveau choc esthétique.