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Le chancelier allemand, Friedrich Merz, doit dîner, vendredi, à Bruxelles avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le premier ministre belge, Bart De Wever, pour tenter de « convaincre » ce dernier du bien-fondé de l’utilisation des actifs russes pour subvenir aux besoins de Kiev.









19 commentaires
Intéressant de voir l’Allemagne prendre les choses en main.
C’est dans leur intérêt de stabiliser la région.
Une stratégie intéressante, mais quels seront les implications économiques pour la Belgique ?
C’est une question délicate, surtout avec les liens économiques entre l’Europe et la Russie.
Un dîner diplomatique avec des enjeux majeurs.
Espérons que cela aboutira à une décision rapide.
Utiliser ces actifs est une idée solide, mais quels sont les risques juridiques ?
C’est une bonne question. Les détails juridiques doivent être bien étudiés.
Pourquoi la Belgique est-elle réticente à utiliser ces fonds ?
Probablement pour éviter des tensions diplomatiques avec Moscou.
L’Allemagne et la Commission européenne semblent sur la même longueur d’onde.
Oui, mais reste à savoir si la Belgique suivra.
L’Ukraine a besoin de ces fonds, mais les intermédiaires doivent être transparents.
La transparence est cruciare, surtout dans un contexte aussi sensible.
L’Allemagne semble jouer un rôle clé pour convaincre la Belgique d利用 les actifs russes à l’aider l’Ukraine.
C’est un dossier complexe, mais l’Ukraine a besoin de tout l’aide possible.
Mais pourquoi la Belgique hésite-t-elle encore ?
Une réunion importante pour l’avenir de l’aide à l’Ukraine.
Tout à fait, l’Ukraine a besoin de soutien financier urgent.