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Les habitants de la capitale kényane se pressent aux « conférences ivres », sortes de cours magistraux sur des thèmes politiques, économiques ou culturels auxquels ils peuvent assister dans un bar, un verre à la main.
6 commentaires
Les « drunken lectures » de Nairobi semblent être une manière originale de rendre les débats de société accessibles et décontractés. Une bonne idée pour éduquer tout en socialisant.
Oui, cela permet de discuter de sujets sérieux dans une ambiance plus détendue, loin des formalités habituelles.
Une initiative intéressante, mais j’aimerais savoir si ces débats ont un impact concret sur les politiques locales.
C’est une excellente question. Pour l’instant, ces événements semblent plus axés sur la sensibilisation que sur l’action directe.
J’espère que ces conférences ivres ne deviendraient pas un prétexte pour éviter des discussions plus profondes ou sérieuses.
C’est un risque, effectivement. Tout dépend de l’équilibre entre convivialité et engagement intellectuel.