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De plus en plus de personnes se tournent vers la consommation de ces substances illégales en France et classées comme stupéfiants, dans le cadre de retraites ou de cérémonies. Des expériences motivées par une quête de bien-être qui comportent des risques.








14 commentaires
Un sujet complexe où science et spiritualité se rencontrent, avec des enjeux éthiques majeurs.
La frontière entre thérapie et expérimentation semble parfois floue.
Certains témoignages évoquent des transformations profondes, mais il manque des études sérieuses.
Exact, les anecdotes ne remplacent pas la médecine basée sur des preuves.
Quels sont les critères pour choisir un accompagnateur qualifié lors de ces retraites ?
C’est une question essentielle, mais souvent négligée par les participants.
Ces substances ont été utilises depuis des millénaires, mais leur usage moderne est-il vraiment approprié ?
Le bien-être mental est un marché lucratif, et ces thérapies en profitent parfois de manière douteuse.
Intéressantarticle, mais les risques psychologiques semblent souvent sous-estimés dans ces approches alternatives.
Vous avez raison, la légèreté avec laquelle certaines personnes abordent ces substances est inquiétante.
Certains défendre la discipline et le cadre strict de ces cérémonies.
Faut-il craindre une banalisation des drogues psychédéliques sous couvert de santé mentale ?
La législation française doit-elle évoluer pour encadrer ces pratiques ?
Une régulation serait peut-être préférable à l’interdiction totale.