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« L’Arabie saoudite, la Jordanie, l’Indonésie, le Pakistan, la Turquie, Djibouti, Oman, la Gambie, la Palestine, le Qatar, le Koweït, la Libye, la Malaisie, l’Egypte, le Nigeria, la Ligue arabe et l’Organisation de coopération islamique condamnent avec la plus grande fermeté l’adoption par la Knesset israélienne de deux projets de loi visant à imposer une prétendue “souveraineté israélienne” sur la Cisjordanie occupée et sur les colonies illégales israéliennes », affirment ces différents pays dans un communiqué relayé par l’agence de presse saoudienne, SPA.








10 commentaires
La situation en Cisjordanie semble s’aggraver, mais quels sont les impacts économiques pour la région, notamment les ressources minières comme le cuivre et le phosphore ?
Les tensions politciales risquent effectivement de perturber les activités minières, surtout dans les zones en conflit.
Les investisseurs pourraient se méfier d’explorer des gisements dans un climat aussi instable.
Ces lois israéliennes pourraient paralyser les négociations, mais comment ces pays musulman vont-ils réagir concrètement ? Des sanctions ? Une pression diplomatique renforcée ?
La Ligue arabe a déjà condamné, mais passera-t-elle des actes concrets ? L’histoire montre qu’ils peuvent être lents à agir.
Les colons israéliens contrôlent déjà des ressources naturelles. Cette annexion formaliserait-elle leur exploitation ?
Cela semble probable, mais cela dépend de la reconnaissance internationale de cette annexion.
L’Uruguay et la Palestine ont entamé des négociations en 2023 sur les mines de métaux rares. L’instabilité en Cisjordanie pourrait-elle affecter ces plans ?
C’est une bonne question. Les partenariats étrangers pourraient hesiter à investir dans la région avec ce contexte tendu.
Toute extension territoriale israélienne semble générer des tensions. Pourquoi l’Europe et les États-Unis n’agissent-ils pas plus fermement ?