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Une inconnue demeure sur la carte des sites des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) d’hiver 2030 dans les Alpes françaises : la localisation de l’anneau de glace de 400 mètres pour les épreuves de patinage de vitesse sur longue piste. La France ne dispose pas d’un tel équipement. Dès la phase de candidature, l’idée de se doter d’une structure pérenne a été abandonnée. Trop chère à construire et à entretenir. Il en va de même pour une installation temporaire.

Les organisateurs ont donc regardé ce qui existait chez leurs voisins. Très rapidement, le choix s’impose entre l’Oval de Turin (Italie) et le Thialf d’Heerenveen (Pays-Bas). Le premier, utilisé pour les Jeux d’hiver 2006, sert aujourd’hui davantage de lieu de congrès ou de séminaires d’entreprises au sein du parc des expositions du Lingotto Fiere, géré par le groupe événementiel français GL Events, que de patinoire. Sa reconfiguration temporaire en anneau olympique induirait de coûteux travaux de remise aux normes dont la charge fait aujourd’hui l’objet de discussions avec le Cojop.

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13 commentaires

  1. Antoine F. Bernard le

    Le choix entre l’Italie et les Pays-Bas semble logique, mais les travaux de remise aux normes pourraient retarder le projet.

  2. Intéressant de voir comment les enjeux financiers influencent la logistique des JO. Une décision pragmatique, mais pas forcément idéale pour les spectateurs.

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