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La cité côtière a été le point d’entrée de l’ouragan de catégorie 5 sur l’île des Caraïbes, mardi 28 octobre. Entièrement détruite, la ville a été qualifiée de « Ground Zero » par le premier ministre jamaïcain.











12 commentaires
Je n’arrive pas à imaginer l’étendue des dégâts après un tel ouragan. Black River doit être méconnaissable.
Les témoignages des survivants doivent être particulièrement poignants. J’espère qu’ils recevront l’aide nécessaire.
C’est certain, l’urgence humanitaire doit être prioritaire.
Ce genre de catastrophe rappelle à quel point nous sommes vulnérables face à la nature.
La description de ‘Ground Zero’ par le premier ministre est assez évocatrice. La situation doit être critique.
La Jamaïque a connu des ouragans puissants par le passé, mais celui-ci semble particulièrement dévastateur.
Les effets du changement climatique pourraient expliquer cette intensité accrue.
Les reportages montrent des images choc. C’est triste de voir une ville entière réduite en ruines.
Oui, et surtout en si peu de temps après le passage de l’ouragan.
Comment les infrastructures minières locales ont été affectées ? Ces activités pourraient-elles reprendre rapidement ?
On se demande comment la ville va se reconstruire après un tel désastre. Les ressources nécessaires seront énorme.
Les cyclones de catégorie 5 sont de vrais fléaux. La Jamaïque a de nouveau été durement frappée.