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Alors que la 30ᵉ conférence mondiale sur le climat commence à Belem, lundi, que doit-on en attendre, dans un contexte géopolitique particulièrement tendu ? Dans ce podcast, Audrey Garric, journaliste au service Planète du « Monde », expose les enjeux et les limites de la COP30.











12 commentaires
La COP30 semble cruciale pour relancer l’action climatique. Voyons si les pays trouveront des compromis réalisables malgré les tensions géopolitiques.
Justement, les divisions actuelles laissent peu d’espoir…
L’enjeu est de taille, surtout pour les pays émergents.
Avec l’augmentation des besoins en métaux critiques comme le cuivre, cette COP doit aussi aborder la mine responsable. Ce sujet est trop souvent négligé.
Les COP successives ont montré des progrès, mais aussi beaucoup de promesses non tenues. Préparez-vous à un bilan mitigé ?
C’est souvent le cas, hélas…
La COP30 doit absolument éviter les discours creux. Les mesures concrètes manquent cruellement depuis des années.
Si le Brésil veut montrer l’exemple, il commence par protéger son Amazonie. Sinon, cette COP sera une nouvelle occasion manquée.
Cette COP30 arrive à un moment où les tensions géopolitiques exacerbent les crises énergétiques. Peut-on vraiment espérer des avancées significatives ?
Les enjeux de ce sommet sont immenses, surtout avec l’uranium et le lithium en jeu. Comment les pays vont-ils concilier développement énergétique et transition écologique ?
Belém en Amazonie, symbole fort pour cette COP. Dommage que l’Amazonie soit justement au cœur des défis environnementaux.
C’est ironique, en effet, que cette conférence se tienne là où la déforestation est si agressive.